On pourrait se demander, où cela, va, comment cela, tourne, les saisons, sans raisons, les aveux sans erreurs, le temps rangé, les yeux ouverts, tout y va, et tout est oublié, et l’on résilie les contrats, plus rien ne compte, du trop compté, du tremblement, du fini, tout est bleu et tout se pense.
Du
jaune, du rouge et des marques sur la route, dur le champ, allons-y, dans
l’herbe, elle est sale et cela tourne, et tout est en violence et tout respire à
l’abandon, la vie errante, la liberté, les courses, les jeux et les rires,
vieille petite femme et rose et laide, on disait : y boire tant d’amour, vieille.
Peau
coupée de rose, tout tremble et tout est agité, des hommes lourds, tous croient,
ils pensent et sont dans leur catégorie, la sagesse, et tout ils incarnent, et
ils sont bien, et ils sont loin, sur le devant, dans l’escalier, toujours
présents, toujours à l’heure, leur vie, leur mort et on doute, on attend.
La
vie errante, la liberté, et tout au tout, et tout en marche au large, au long,
le soleil haut, la pluie en marche, allons, allons, on y pense, plus vite, plus
vite, sur le chemin, les plus méchants et plus, on oublie, on oublie le mot,
ils sont sourds et tout, aveugles et mal rangés, aveugles, sourds.
Tout
déboîtés, et plus on y pense, et on avance, tout un chemin, un chemin tout en
stupeur, tout tourne au tremblement, et tout est au quelconque, et après, quand
même, sans trembler, sans croire, sans tenir la longue plainte, la grande
lamentation, les longs sanglots des mères amoureuses.
Oh
belle, belle comme maman, comme elle les dames partent et les demoiselles
pensent en sauterelles, tout vire, tout vire au vert et toute pluie est bue et
entendue, la vertu est évidente, dans le devant, dans l’escalier, tout change
et rien n’est en avance, un air défait, une peau ridée.
Et
comme maman, nez touché, je pleure et je m’active, rosier coupé, je prends, je
tiens et j’agite, faire, faire le tour et éviter le plus vieux celui qui traine
et tord bien bêtement les pieds, le nez trop gros, trop lourd et pourtant jeune,
la grâce est en voyage, le cœur est éloigné et tout cela, il faut.
Il
faut oublier, résilier ces contrats, abandonner ces charges et ne plus veiller,
que les arbres s’effondrent, que les tuiles s’envolent, les yeux fermés, ils
comptent et tout engrangent, vendange morte, cœur éloigné, regard perdu, ils
avancent et tout au tout revient, ils sont inutiles, utiles petits.
Aveugles
et sourds, on se sauverait, on se sauverait, le contrat résilié plus rien ne
compte du trop compté, du tremblement, du fini.
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