Le
vert étalé, les orgues sonnent en tête, tout imprégné de feu et d’espérance, où
de temps, où d’espace, des yeux émerveillés et des doigts qui se délassent, du
grand et de l’aimable, et de cloches, tout sonne et reprend et conduit, il mène
un troupeau de grands et de petits, le bétail est vivant.
01
Août 2016.
Cet exil ce retour de 1 à 9 fut très beau
RépondreSupprimercelui qui se présente de 1 à 10 nous émerveille déjà les yeux
beaux jours