III
Éternellement un monde de pierre et d’eaux assemblées et figées, tenues, encore si près, si
près, tout est porté à la main, le cœur assemblé et posé, sur quoi tout se
retourne, les longs frémissements, la charité perdue, tout tendu, si long et
frémissant, je tiens, tu viens, tout est couru, sans le froid.
16 Juillet 2016.
Aucun commentaire:
Enregistrer un commentaire