De
cet arbre cela tombe au vent, en suite une espérance et un corps sur l’autre,
des yeux émerveillés, et de la joie, et merci, confiance, au ciel, au ciel.
Le charme et la grâce, bâton planté, cœur
d’aubépine, de la vie et des façons de grand, tout au cœur et tout ensemble, en
avant, la vie avance la joie.
Les
efforts, immense joie, bien affectueusement et route noire, ciel bleu, aurore
en chanson, tout ensemble je murmure et commence, ô joie immense, de cet arbre
les fruits tombent.
Épanoui, tout aise,
j’avance et je remercie, les yeux ouverts grands et clairs, orages retenus,
sagesse, sans fin.
On
aime, on espère, au ciel, au ciel, nous sommes et pour toujours, je suis enfin,
tu es, surtout, et du blanc de la peau et du cœur tu tires les artifices, cœur
blanchi, joie retrouvée.
Grande
indifférence, je te laisse, je suis accompli, une semelle sur la terre, le cœur
dans le panier et à sa récolte tu avances.
Tu
te sers et je te suis et je te donne, tu tiens et tu serres et surtout je
remplis le panier, cœur éploré et joie intacte, cela tombe et de cet arbre et
du temps, le vent le pousse et le ciel gronde.
Je suis ici, je suis d’ici, ils sont, ils sont et au bois, œil cerné,
la vie menace, les cailloux, le chemin, le panier lourd.
La
promenade, on tient, on vient et on attend, espérance et violence et couteaux
perdus au fond de la poche, je te tranche et tu viens et ne respire plus vieil
homme il faut mourir et reconnaitre une seule chose.
On dit amour, amour et on reprend panier porté, gorge chaude, dans et
sur la main.
Cœur
et gloire, pour toujours on se hâte, on prend la mesure, le cœur taillé et la
joie en tout au partage, tout à la mélancolie, je suis, tu es, et je deviens et
tu devines, homme en visite.
Du plus
grand toit, du plus haut des arbres, la vérité est en balance et je suis sur,
et je suis là, ici, ici, il faut rester et tenir.
Une
à une les secondes, temps entendu et rire profond, du bord, du large, de la
joie il reste peu et peu, tout au fond, tout entier et sur, et sur, division et
semailles tout est jeté et reste, en l’air, en l’air.
La main ouverte, le cœur léger, les amis contents, rire et riant, gorge
déployée, tu renouvelles et tu insistes.
Ils
sont bien vivants, les cœurs, tout est ouvert, et sur, et en haut, au bout du
temps, au bord du toit, sur la plus haute branche, oiseaux, oiseaux vous
chantez, vous chantez, vous êtes et nous sommes.
Petite maison, petite chambre, petit toit, petites marches, escalier et
tout vivant, et sur, tout est haut.
Le
rire au bout de la voix, les plans tracés sur le sable, la gorge déployée, le
rire éperdu, la course, la course, tout est donné tout est présent, le
sacrifice, des arbres, la jeunesse.
De
cet arbre il tombe encore un air de liberté, fureur connue, voix emportée, en espérance,
sur le devant, tout commence.
Tout
est à accomplir, les cueilleurs chantent au bord des routes.
26 Juillet 2016.
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