Une note de silence dans son cœur perce la pelure de l’âge. Dans la patience et le doute une étoile dessine la couleur des cimes grises, sa jeunesse, une pierre, un refrain au dos de la page, une griffe d’enfant, le chat trace le message.
Une note, un lait, peignent le silence, la phrase goutte au rebord des lèvres. La tendresse, le jour, parent le ciel bleu, les yeux, le né bâille nouveau, bouche ouverte à la beauté, et frappe de la langue le calice du monde.
04 Décembre 2010.
1 commentaire: if6 a dit…
Un vent monte de la mer portant brindilles et étincelles pour la louange. Tout est présent là, la tendresse et le jour, la tendresse des rayons fragiles et la beauté du monde telle que nous, oui nous, pouvons la voir ensemble.
27 août 2011 à 18:47
Une résonance ici
RépondreSupprimerUne autre ici
RépondreSupprimeret puis un petit oeil ici
RépondreSupprimer;-)