mardi 4 avril 2017

Exil, le retour. I, 6/9

Le fil, un air suave et tout ici chante et tout ce tout me respire et on y mêle les fleurs d’amandier, les bêtes petites, agiles et malicieuses, tout ce qui ne sent plus la science, l’école, d’où vient ce tendre sentiment qui me remplit de joie et d’espérance d’où vient, toute l’affaire doit cesser, tout compte à renverser.

01 Août 2016.

Aucun commentaire:

Enregistrer un commentaire