samedi 7 octobre 2017

Sans titre, 20 Août 2003.

Connais ton travail et la langue que tu fredonnes.


L’absence est un aveu, la puissance jaillit du bras, des veines, blessures d’or, épices barbares, frelons qui piquent, qui lissent et qui tuent. Le bain au jour est nécessaire, flot liquide de patience et de sucre qui coule en rayons de soleil. Le chemin combat la nuit, l’ombre cache un vrai sanglot. La peau s’écorche, ligne que ferme l’eau salée.

Il pleure, amertume et plaisir mêlé, celui qui se trompe.

20 Août 2003.

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