En silence
les mots franchissent
les murs noirs
rêves blancs
la vie
joue à l’ infini
sans ordre
en noir et blanc
un sanglot
un long chant noir
exulte à la face
cri blanc
main blanche et déraison
main noire à corps perdu
silence de soie
la clarté achève le monde
croire en la peau blanche
la peau noire en liberté
grande lumière sur le sable
à l’abandon
lisse et paisible
armes déposées
dévoiler la pensée
la joie d’un frisson
rire noir du blanc de l’œil
les oreilles sont au visage
détournées de la parole
noire
sur le blanc de la feuille
Maria Dolores Cano, 14 octobre 2019 à 20:53. ici .
RépondreSupprimersilence
rêves blancs
à l’ infini
noir et blanc
un sanglot
à la face
cri blanc
silence de soie
peau blanche
la peau noire
lumière
paisible
la pensée
d’un frisson
au visage
la parole
blanc de la feuille
le 7 mai 2011 à 11h 20 michel chalandon a posté ce commentaire prolongeant un poème donné sur le blog de jean jacques dorio
RépondreSupprimer.Une mer d’immortelles:
nous nous l’inventerons.
A l’aune du temps passé
et aux souffles du vent,
je vous rejoins et je m’enchante:
un parfum aux plumes des oiseaux,
Mon poème se terminait ainsi :
RépondreSupprimerAussi mes chers amis
Voguez dans les poèmes
Et inventez la vie
De qui les écrivit