en
incertitude tu te retiens et je t’arrache, finissons, oublions, sur la main,
sur la peau, les yeux sont oubliés, tu te retournes et je t’insulte, cœur
émerveillé, sur la vie tout roule et se répand, dans l’escalier la chose est
sûre, je vais, je viens et je te regarde, cœur ébloui, dent retournée, tu te
donnes,
tu
réponds : il ne se trompe jamais celui qui pardonne et tout nous tue et
tout nous tient, ce mal qui indiffère et tout ce bien qui se prolonge, je te
tiens, je te veux, je te méprise et je t’arrache cœur d’herbes sèches et rires
sans accord, tout est au tremblement, tout se retourne, je te regarde sur la
main,
23 Juillet 2016.
Gandhi disait : "Le faible ne peut pardonner, le pardon appartient aux forts"
RépondreSupprimerPeut-être est-ce cette capacité à pardonner qui fait sa force ?