Jamais il ne se trompe celui
qui pardonne et sans erreur, je prends, j’entends, je reprends, tu tournes
autour de la liberté, tu façonnes des évidences et un mot plus un mot, un
souvenir d’escalier, de joue meurtrie contre le cuir, des évidences, un cœur
tremblé et tout obscurément absent, escalier descendant tu roules, tu roules
les marches du bonheur.
21 Juillet 2016.
RépondreSupprimerLe pardon et l’erreur
et reprendre sans façon
liberté
joue de cuir
cœur qui roule
escalier
souvenirs
émotions
cœur tremblant
déraison
le sourire et la joie
et au pied l’escalier
jours sans fin
liberté
cœur et dents
âmes fortes
en ruban
cœur serré
en saison
trois et trois
lettre ouvert
le cœur tremble
s’agite
vivre
venir
ciel percé
peau de l’homme
inversé
le cœur fuit
le cœur bouge
en péril
sous le pied
cœur ouvert
sur la marche
une absence
un noyé
et la mer
submergée
dans la gorge
une voix
pleine et tendre
le pardon
la blessure
dans le tendre
une goutte
dans le creux
de la pierre
et
de l’œil
cœur absent
et
stupeur du caillou
à genoux
chaque mot
yeux tremblants
ciel sans nombre
prendre
et reprendre
l’éternité
sur les genoux
pardonner
et
engranger
la liberté