Coup
pour coup, tout ensemble, les vagues, la mer, les doigts, les jambes, tout
tombe et je tourne, je reviens, loin, encore, je, sans œil et sans servir, je
bascule, tout tremble, le vide est préférable, je descends encore, je termine
une vie, et plus rien sur les épaules, la peur, des espoirs, plus rien, sans.
Le
froid, les regards vides, tout est perdu, et tout au ciel succombe, il y a dans
ce coin une odeur de menthe et de roses, souvenirs fanés déjà, tout est perdu,
un regard vide, et personne ne voit au monde, je suis vide, je tourne sans
espérances, du rien, de la ferveur et des éclats, les voix portent loin.
24 Juillet 2016.
Aucun commentaire:
Enregistrer un commentaire