mardi 2 août 2016

Sans un caillou. III/VII (Jour tordu.)

III

Je vais, je viens et tu commences, enfant venu trop tôt, de l’escalier à la ramure, des chambres closes, aux certitudes, tout à finir, tout à décomposer.

Je suis bien, je suis là, je viens, je viens et je choisis, je tourne, tout te commande, l’air à respirer, le sang sur les planches, la vie sans cesse, la mer toujours, et encore.

Ta présence, ton soutien, charmant et charmant et tu oseras le souvenir, je penche entre les branches, follement, avec ivresse, je suis, je suis sans avenir, je suis sans un caillou.

18 Août 2015.

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