mercredi 4 janvier 2017

Chanson d’ennui et de mépris. 3/8

Il faut aussi frotter de son front la terre et le sable, pierres qui taillent et peau ouverte, je pleure et je m’enchante au paradis de l’humiliation, je te supporte et je t’attends, goutte de sang, larme salée, nous sommes en écho, tout tourne sans cesse, laissez-moi, laissez-moi, il y a encore à vaincre.  

25 Juillet 2016.

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