samedi 7 janvier 2017

Chanson d’ennui et de mépris. 6/8


Vers le repos, enfin, vers les sens ravagés, ici, plus rien n’est admirable, tu cours sans cesser vers la vérité et tout au ciel, au dépôt, au remord, tu chantes une chanson ou fausse ou aveugle ou perdue ou sans fin, des yeux écartés, des mains qui serrent et des doigts qui s’accrochent voyageur seul, perdu. 

 25 Juillet 2016.

Aucun commentaire:

Enregistrer un commentaire