dimanche 3 juillet 2016

A ton passage. III/V


III

une, plus une, il faut un long discours, sans armes, sans soulier, tout tremble,
et tout est à retrouver, chemin perdu de bois et de vallons et arbres désolés, morts et tremblants, dans le temps qui se lève, dans l’air et sur les eaux, cordes et nœuds, tout est à lier, et tout est tenu, bonheur, espoir et retrouvailles, 

d’un bord à l’autre, d’une sensation, la toile trouée, accroc, et mains qui serrent, 

14 Août 2015.

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