vendredi 1 juillet 2016

A ton passage. I/V



I

Pour que ce soit un tas et de n’importe quoi, et en plus une étendue, pour que les eaux s’y assemblent, sur un chemin pour rencontrer, au fond, au fond, il y a des yeux ouverts et des voix qui explosent, en finirais-je, et un jour et jamais, 

le tremblement, tout est incertain et la douleur, tout est brûlant et tout retient, 

de l’eau, de l’air et tout encore, au reste, au contenu, à la déploration, il faut, il faut et nous sommes, et nous sommes notre chemin, et près des bois et autour des fontaines, tourne et revient et sois enchanté, au détour, il passe et

14 Août 2015.                                                

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