IV
Une ombre dure, un cœur à
mépriser, une chanson à dire, mais, je ne parle pas, je n’écoute pas, tout
tombe, tout vient et tout au temps respire, un jour tordu, une histoire
effroyable de vin aigre et de coups, une blessure aux yeux ouverts.
Chanson perdue, cœur oublié,
regards sans joies et cordes minces, sur le devant, dans la montée, des cœurs
anxieux, des voix sans âges.
Je suis muet et sourd et
tout monte de l’obscurité, pour ne rien finir, pour ne rien augmenter, je
passe, je passe et sans, je voudrais rire, du temps passé.
11 Août 2015.
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