II
Et puis au ciel et sans
histoire, tout est tendu, des mains blanches, les yeux levés, et pleines,
cailloux d’ici, et tout là-bas chemin perdu, plus rien ne passe, plages et
chemins, sable et poussière.
Tout pour dévorer les églantines,
tout en avant, au commencement, l’amour et l’eau fraîche, sur tout ce coin du
monde.
De ces sentiers il a pris
des cailloux, jetés au ciel, ils sont restés, poussière et voix, tout brille et
se déplie, en l’air, je suis ici et tout d’ici.
10 Août 2015.
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