III
En passant, nous passons,
noirs corbeaux, attendez et laissez faire, il y a sur ce chemin, des trous et
des griffures, cris du cœur et ombre, le mal est attaché.
La course attendra, il faut,
il faut, il y a, il y a, et tout il a, des chevaux, des oiseaux, et passent des
cigognes, un commencement évident.
Ici, et là-bas, tout loin,
les ombres dansent, il faut être et fort et fier et tenir le regard levé, le
jour est tordu d’air humide, et tout bouscule : les mots, les images.
13
Août 2015.
Madame Nostalgie
RépondreSupprimerquand tu nous tiens :
merci