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De
chaleur, de poids, d’ennui, fortement, tend et tout obsède, de lignes, de courbures
et d’églantiers froissés. Je vais au point du jour, j’arrache, un grand frémissement,
tout tend et je m’obsède.
Figure
brouillée, serrure et double tour, un cran plus un, et plus encore, tout autre
chose, saveurs et connaissance. Allons enfin sur le rivage, tout y dort et tout
commence.
Un
pied encore, tendu et avancé, sur un point du jour, sur le bout d’une nuit et
chaude et profonde. Croissant poussé et chuintements, à la dérive, tout arrive
et tout tient.
11
Juillet 2016.
RépondreSupprimerEnnui
je vais au frémissement
serrure
saveurs sur le rivage
tendu
un point
poussé à la dérive
saveur
sur le sable
mains enlacées
des âmes en paillettes
mains tendues sur l’eau
vie ___ joie
et
encore.
RépondreSupprimerEnnui
je vais
sur le rivage
un point
à la dérive
le sable
des âmes
sur l’eau
vie
encore.
RépondreSupprimerje vais
à la dérive
sur l’eau
vie
RépondreSupprimerje vais
sur l’eau
vie
RépondreSupprimerje vais
vie
RépondreSupprimerJE
VIS