IV
Bois épais et ombre
redoublée, tout ensemble, faut-il encore souffrir le jour et chanter le vacarme,
tout est assourdissant.
Autant et en face, je suis
ici et pour longtemps, d’un sommet à un vallon, d’une ligne à un gouffre, tout
est profond et tout est ombragé.
Le bruit siffle, oreille
tendre et main levée, cœur envoyé, tout confus je monte, je monte et tout
montera ici et maintenant.
24 Août 2015.
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