III
une, plus une, il faut un
long discours, sans armes, sans soulier, tout tremble,
et tout est à retrouver,
chemin perdu de bois et de vallons et arbres désolés, morts et tremblants, dans
le temps qui se lève, dans l’air et sur les eaux, cordes et nœuds, tout est à
lier, et tout est tenu, bonheur, espoir et retrouvailles,
d’un bord à l’autre, d’une
sensation, la toile trouée, accroc, et mains qui serrent,
14 Août 2015.
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