III
Guêpes et abeilles, tout
dévorent, grappes et feuilles, couvertes et tracées, tout est emporté, une
immense, joie, immense, coule au trésor, le vent, le jour, le soleil, la boue
sous le pied.
Au début, l’escalier, tout
est en ordre, infiniment, sans tremblement, sans raison, il n’y a rien à craindre.
La vie tourmente, le ciel
brûle, tout est à terme, il vient, il vient et ensemble et comment, il se pose,
il se donne, il se cherche, tout en haut et au rebord, tout coule et tout
coulera.
17 Août 2015.
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