II
Du jour au soir et à la
confidence, je cherche et tu raisonnes, temps à compter et heures en miettes, « heur »
et bon « heur », et « heur » mauvais, tu cherches et tu
respires, air bon, air d’ardente solitude, tu retournes et tu tires le jeune
temps parti, en haut, en bas, à la mesure.
La terre tourne et nus
vivons moins fort, une autre, une autre histoire, une année vive et des
cailloux tournés, au bord du chemin, du début vers la fin tout est mobile et
tout tourne, le rythme, et un et un et deux pour la mesure, il y a, il faut, du
bord et du chemin et des oiseaux ils tournent.
15
Août 2015.
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