II
Et tout s’impose, et tremble,
au frais le matin penche, allons a l’hiver, tournons et battons voiles et drapeaux,
tout pour l’avenir, pour comprendre, face, le regard perce et je te vois,
vermine abandonnée, chose craintive, cœur tombant.
Il se pose et je chante et
je bénis la foudre et les passions, vous y êtes et nous y serons.
Tout coule, nids d’abeilles
et colliers de guêpes, temps suspendu et bouche ouverte, la faim pour le moment
et le début dans l’escalier, tout charme et tout commence, tout a coulé et tout
mord, le pain fendu, l’ombre portée.
17 Août 2015.
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