le
cœur prenant, la bouche ouverte, un cœur en sanglot, un père faible, faible,
tout en pleur et doucement, où est la colère, ils sont à chercher les mots, les
phrases une à une, tâtonnent dans la peur, enfants perdus temps suspendu, ennui
et confiance, ils se tournent et cherchent, ô, qui nous délivrera ?
18 Juillet 2016.
Cœur épris, bouche en sang, le cœur pleure la faiblesse de l’homme. Les mots sont de colère et de douceur grise, la phrase frisonne sur le bord du ravin. L’enfant se perd dans le temps qui s’éteint, conscience perdue, chemin sans retour, la chaine est si lourde.
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