Au
plafond de verre, on entend loin, la bouche ouverte, le cœur ému, tout est à
chanter, sommes-nous dessus ou dessous : les sentiments, les cœurs émus,
les mains pleines.
Dessus-dessous les sentiments, la moitié du monde
dans la certitude de l’incertain, plafond de verre, et cœur troublé, te
retiens-tu.
Tu
te penches et tu te donnes des envies, des illusions, les sens en éveil et tout
en émoi, tu tournes, tu tiens et tu te donnes, sur le devant, encore,
l’escalier encore, encore, des échanges et on en reste aux sentiments.
A la surface tout affleure, je tiens, je viens, je
suis ici pour le reste, à l’infini du temps.
Tout
commence à l’escalier, la joue sur le cuir, courroie et mât, un bateau sur les
eaux assemblées, les jours heureux, les jours heureux, j’y suis, j’y tiens, on
s’enferme, le monde est dit, redit.
Une erreur, le souffle, le vent, les jours, les
uns après les autres, il y eut un soir, il y eut un matin, tout pardonné.
Au
ciel pardonne et je te suis et je tiens la couronne, dans l’escalier le temps
commence et suit toujours, toujours, l’absence éternelle, éternellement je te
tiens, je me tiens, je suis ici et tout est en lumière.
D’éblouissement en éblouissement, dessus-dessous
les sentiments, nous en sommes au monde sensible.
La
peau effleurée, le cœur battu, et tout y bat, et dans la main tout tient, les
sentiments à la surface, et dessus et dessous, il y a ce monde qui me tient, et
je dis.
Ici commence un royaume ou seuls, seulement, nous
sommes et nous et eux et moi enfin, enfin, sonne, sonne, cet escalier, la joue.
Sous
le cuir, les eaux assemblées, l’heure sans fin de l’éternelle absence, et tout
tient dans la main, et tout tient au corps même, un effort, un élan, tout saute
et recommence, du sel et des chansons au soleil.
Au soleil, des yeux ouverts et des mains pleines,
du calme et du repos, tient ici, tout ce tout.
Tout
s’impose dans l’effort et dans le sacrifice, pour une guerre, pour une querelle,
je me donne et je me tiens, j’en suis encore, encore et tout commence, tout ce
tout, plafond de verre, sentiments à la surface.
Dessus- dessous, nous sommes, nous y sommes tout,
encore tout, je deviens et je devine.
Comment
dire, comment tenir entre le haut et le bas, les sentiments dessus-dessous, tout
est à dire, tout est secret et secrètement je tiens, je donne et aussi j’attrape
toutes les images, et un monde de chagrin et de joie.
De certitude et d’incertitude, ici s’ouvre un royaume
et chantent les oiseaux sauvages.
Cœurs
en partance, du dehors, du dedans, ensemble les cœurs sensibles, tout tient
dans la main, et tout surtout et moi sur moi, le monde des merveilles, tout
seul au soleil et d’éblouissement en éblouissement, je te cherche.
Je te trouve et je te chante, tout autre que toi
même et tout accompagné.
Au
ciel je tourne et je te donne, cœur dévoilé, le passage des oiseaux, du ciel et
des nuages, sur eux même, plafond de verre, tendu entre le haut et le bas et
dessus et dessous, tressé de sentiments, tu respires tous les reproches.
Tu entends ici le chant de ta gloire et de tes
renoncements, peur tendue.
Joie
sensible, tu tiens et tu deviens et tu évites.
27 Juillet 2016.
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