Il faut pour attendre la nuit des doigts croisés et de la constance.
Dans le silence et dans la fièvre, roi seul dans ce jardin, je chante et j’épuise ce qui reste de vertu, de candeur et de joie. Sur un rocher dans l’air sautant, je vole un refrain aux oiseaux de passage, un cliquetis de plumes sur un dernier rayon.
Je décroise les doigts.
15 Juillet 2006.
Dans le silence et dans la fièvre, roi seul dans ce jardin, je chante et j’épuise ce qui reste de vertu, de candeur et de joie. Sur un rocher dans l’air sautant, je vole un refrain aux oiseaux de passage, un cliquetis de plumes sur un dernier rayon.
Je décroise les doigts.
15 Juillet 2006.
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