mercredi 2 novembre 2016

Ô, encore. IV/VII


la faiblesse, la force de la rosée, le visage déployé, le cœur ouvert et en miroir, au soleil tu avances, tu viens et tout te tient et tout t’enchante, un mot tranquille et un rire sérieux, ils pleurent et se confondent, géants abandonnés, héros, tout est à prendre, tout est à montrer, les arbres de la promenade, 

18 Juillet 2016.

3 commentaires:

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  3. Jour de vie, étrange sensation dans le soyeux de l'aube. Un mot se pose, et repose sur la phrase, il est un, il est tout, il est doux. La phrase glisse, ineffable solitude.
    Le cœur est d’or, il ouvre le chemin, enchante le jour et embrasse l’enfant, lui prête ses traits dans un éclat de rire. Un mot, un doute, une syllabe engendrée sur le bord de la route.

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