vendredi 4 novembre 2016

Ô, encore. VI/VII

ils se jettent, et dans l’ombre et dans l’orage, le ciel est bleu, la mer est calme, tout au recours, tout au refus, tremblants, perdus, yeux affolés et cœurs en transport, tu vas, tu voles et tu redonnes un espoir, oiseau qui tourne et cœur oublié au loin, au loin, sous les arbres, sous les murs, fermes et chauds, 

18 Juillet 2016.

1 commentaire:

  1. Chaleur de l’espace, l’oiseau de feu tourne et vole, cœur en transparence, cœur perdu des lassitudes. La mer est un tremblement, le ciel est d’orage et l’ombre s’agite dans l’éclat des feuilles.

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