Faire sans trembler un effort face au monde et affirmer ici le roi est en promenade et compte les cailloux pour une couronne à son front. Le ciel est sur la tête et les épaules, il soupèse le battant de la cloche, un jour d’envies. Ils sont frêles encore ces enfants qui se roulent dans le sable et se lavent dans la vague. Les grains tombent un à un et surchargent les orteils, la peau cerne le bout rond du sein ou de la tige car la chair n’est pas molle et se ferme sur les boules rondes qui chantent au soleil dans le vent, le rasoir est passé, légèrement reprendre la toison pour en faire un étendard pour la joie et la race.
Les peaux sont presque blanches, la lumière écrase les rondeurs, bouillons sur la peau qui roule les organes et jette des éclairs. Le grain rouge est en feu et danse le miracle, un étang de corail ravage la fraîcheur et fait saillir sur les cuisses serrées une boule de feu qui appelle les yeux et fait douter du silence et du calme. Une peau plus présente effarouche la faim et recule devant les ordres du sanglot, le seigneur est en route et cherche un abri pour poser sur le sable à l’ombre des grands arbre, un présent de mystère, une bonne volonté, la solitude est légère sur le visage, les sentiments sont clairs et la lumière aide à cacher la vie sous un rideau de silence, des côtés à flatter. Les petits se roulent dans le sable et leurs silhouettes se déclinent au vent des grains qui volent et font fermer les yeux piqués par le miracle, ils volent les cailloux, le vent est le plus fort. Ils sont presque dressés et raides sur la butte, la motte est un office où se dévoilent les remparts qui tombent en gerbes comme de grands jets d’eau inventés dans la nuit.
Les petits sont un problème, ils mettent beaucoup trop de loin entre les corps et refusent de dire encore, encore, la chaleur est si forte et je me dresse pour toi pour ne pas refuser cette offrande de chair, le marchand de Venise passe et fait rouler encore sous les yeux un sac de peau blanchie par contraste. Ils se roulent dans le sable, les chiens polis qui se tiennent bien droits et font remarquer un avenir de corps troué par le remord de n’avoir pas cédé, les histoires sont tristes, les sentiments sont courts et trompeurs et menteurs. Le registre est ouvert sur des pages que seulement le soleil aura brûlées. Le roi est en balade, la sarabande le mène sur le haut et les fleurs se disputent avec les oiseaux pour dire le plus beau. Le pays est une fête entre les massifs de bouquets sec et les serpents en partance vers un nid de peur et un bal des regrets. La colonie s’épanche et les arcs sont tendus, les vieux guerriers dressent des bâtons couverts de cicatrices, les combats vont cesser mais la raideur est là et le manche de cuivre du vieux coutelas exerce encore son poids dans la main qui le flatte et ne demande rien, que les yeux restent ouverts et que les innocents poursuivent leurs ablutions.
Le roi fait promenade et relève les pièges, la cour est installée, les prisonniers se reposent, les vieux gardiens serrent leurs manches et les innocents ne profitent pas de la raideur du jour, de la concentration du passage incessant de l’amour en visite. Le temps est à l’extrême et les serments nuisent, le contentement, le ravissement est en jeu dans l’espace saisi par les yeux ce jour du mois d’Août.
20 Août 2005.
Les peaux sont presque blanches, la lumière écrase les rondeurs, bouillons sur la peau qui roule les organes et jette des éclairs. Le grain rouge est en feu et danse le miracle, un étang de corail ravage la fraîcheur et fait saillir sur les cuisses serrées une boule de feu qui appelle les yeux et fait douter du silence et du calme. Une peau plus présente effarouche la faim et recule devant les ordres du sanglot, le seigneur est en route et cherche un abri pour poser sur le sable à l’ombre des grands arbre, un présent de mystère, une bonne volonté, la solitude est légère sur le visage, les sentiments sont clairs et la lumière aide à cacher la vie sous un rideau de silence, des côtés à flatter. Les petits se roulent dans le sable et leurs silhouettes se déclinent au vent des grains qui volent et font fermer les yeux piqués par le miracle, ils volent les cailloux, le vent est le plus fort. Ils sont presque dressés et raides sur la butte, la motte est un office où se dévoilent les remparts qui tombent en gerbes comme de grands jets d’eau inventés dans la nuit.
Les petits sont un problème, ils mettent beaucoup trop de loin entre les corps et refusent de dire encore, encore, la chaleur est si forte et je me dresse pour toi pour ne pas refuser cette offrande de chair, le marchand de Venise passe et fait rouler encore sous les yeux un sac de peau blanchie par contraste. Ils se roulent dans le sable, les chiens polis qui se tiennent bien droits et font remarquer un avenir de corps troué par le remord de n’avoir pas cédé, les histoires sont tristes, les sentiments sont courts et trompeurs et menteurs. Le registre est ouvert sur des pages que seulement le soleil aura brûlées. Le roi est en balade, la sarabande le mène sur le haut et les fleurs se disputent avec les oiseaux pour dire le plus beau. Le pays est une fête entre les massifs de bouquets sec et les serpents en partance vers un nid de peur et un bal des regrets. La colonie s’épanche et les arcs sont tendus, les vieux guerriers dressent des bâtons couverts de cicatrices, les combats vont cesser mais la raideur est là et le manche de cuivre du vieux coutelas exerce encore son poids dans la main qui le flatte et ne demande rien, que les yeux restent ouverts et que les innocents poursuivent leurs ablutions.
Le roi fait promenade et relève les pièges, la cour est installée, les prisonniers se reposent, les vieux gardiens serrent leurs manches et les innocents ne profitent pas de la raideur du jour, de la concentration du passage incessant de l’amour en visite. Le temps est à l’extrême et les serments nuisent, le contentement, le ravissement est en jeu dans l’espace saisi par les yeux ce jour du mois d’Août.
20 Août 2005.
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