dimanche 1 mai 2016

Bâtons à rompre. II/V



II
Au commencement, à la déchirure, il te reste des oiseaux, des corps blessés, des sacs et des cordes, sans bâtons, les pieds nus pour aller d’ici à plus loin et pour aller ailleurs, je te cherche et je te trouve silence, capture un oiseau blessé, cœur sous la main avant l’envol, avant la fin, une autre certitude d’aventure et de tremblement, on cherche, on trouve et tout commence, tout prend du temps.
05 Août 2015.

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