Il prend le premier soleil et compte les cailloux celui qui repose. Dans
les bras de la cavalière, les astres se défont et chantent pour lui
seul l’espoir conjugué au souffle lourd et profond d’un cheval que plus
rien ne monte et traîne encore dans la boue et la fumée de l’hiver qui
finit.
7 Février 2005.
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