Il se penche à la fenêtre et voit le monde qui défile, la vérité traîne dans la boue du crépuscule, les indifférents attendent la lune dans le soir. Sur le mur les cailloux se détachent, dans l’ombre et dans le froid. Les parleurs se rassemblent et signent d’un rictus la vengeance et le sacrifice, leurs crocs désarment, la mort de l’hiver est annoncée depuis toujours.
Un appel, une espérance.
7 Février 2005.
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