mercredi 6 avril 2016

Ô, pauvres morts. IV. Petit monde sans vertus. I/V





I


Où les eaux sont partagées, on demeure et on croit, soleil serré, mains déplacées, on croise, on espère, on tranche, on entend et tout bruisse, devant, en haut, au plus long, un plafond, une voûte, tout, ensemble et bruissant, pour s’y noyer, eaux assemblées, mats réunis, un trouble, une atmosphère. 


Une saison lente, lente, de ciel bleu, de chaleur et de travail, au travail, au monde, inconstante, sans rien franchir, sans donner suite, sans entendre la voix, elle monte. 


03 Août 2015.

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