II
Une vie pour attendre et des
jours pour compter, votre âge avance et votre masque est fendu, tout au
sacrifice et tout dans la joie des taches roses et blanches sur la peau, comme
un appel comme un pardon, je suis sur le côté et la joue mord le pied, il y a
dans l’escalier des lettres sur la porte, oh que tout soit servi, que tout ait encore
du poids, soixante-dix-sept fois, sept fois, et des pierres sur le chemin et des
larmes encore humides, comme une souris qui dit au revoir.
J’en suis encore à ce
premier voyage, et tourne et serre du flanc vers le cœur, poids remonté trop
lourd toujours et encore, un sacrifice, je suis, je tiens, je viens et j’espère.
Avance droit sur ton chemin,
soixante-dix-sept fois, sept fois, j’ai pensé cette histoire, un escalier, la
joue sur le pied et tout est majuscule, sans fin et sans avenir, un présent
dans l’éternité pour que tout serve, tout est utile de cette chose sans usure, de
ce temps déjà top loin, toujours prêtez moi des larmes encore et donnez-moi du
temps encore.
08
Août 2015.
Aucun commentaire:
Enregistrer un commentaire