I
A l’infini tout est compté,
les doigts, les yeux et le pardon, tout est montré la voix, le sel, les
sensations, on tire, on vient, on chante, on rit, on en mourrait, et tout à
part, tout en chantier, une chanson pour une heure, une émotion pour le reste
et des images pour l’intention.
La vie est lourde, le calme
va tout entier dans les ramures, au pied des arbres, on voit les oiseaux et
tout tourne, tourne, une image pour une autre et des insectes à la dérive, de
branche en branche, de cœur en pied, toute l’intention est là, il ne faut rien
dire, il faut tout supporter, je recommence, je suis en haut et tout bas, tout
bas au sacrifice.
07 Août 2015.
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