Ils courent dans les rues, les enfants du monde, demandent justice et
desserts. Ils volent vers les autres, feux d’amour et d’impatience, et
ignorent qu’il faut réfléchir. Ils hantent des recoins qui ne meurent
jamais.
Ils rient et bousculent les couloirs de l’école, rampent et gâchent le savoir qui rompt l’animal. Ils rient et bousculent, feux d’amour et d’impatience. Ils hantent les couloirs de l’école, gâchent la justice et rampent pour les desserts.
Ils volent le savoir qui rompt l’animal, et ignorent les autres. Ils demandent : ne meurt jamais, ils courent et il faut réfléchir.
Ils rient et bousculent les couloirs de l’école, rampent et gâchent le savoir qui rompt l’animal. Ils rient et bousculent, feux d’amour et d’impatience. Ils hantent les couloirs de l’école, gâchent la justice et rampent pour les desserts.
Ils volent le savoir qui rompt l’animal, et ignorent les autres. Ils demandent : ne meurt jamais, ils courent et il faut réfléchir.
29 Octobre 2003.
J’aime ces enfants qui courent dans la rue
RépondreSupprimeret qui demandent justice au dessert
j’aime ces enfants qui font l’amour non la guerre
J’aime ces enfants qui bousculent l’ordre établi
et court après le dessert dans le cercle de minuuit
Ne mourraient jamais chers enfants du monde et de la rue
embrassez vous debout contre les portes de la nuit
merci