Ils sont drôles et penchés ces rosiers de fortune. Le vent sèche les poisons qui coulent au creux de la main et du cœur.
J’arrive en bondissant, croissant de pleine lune, accroché à l’âme, des oiseaux et des fers de plaisir dans le pied des jeunes, ils se fient à la parole.
« Vieux tais toi donc ».
8 Mai 2004.
J’arrive en bondissant, croissant de pleine lune, accroché à l’âme, des oiseaux et des fers de plaisir dans le pied des jeunes, ils se fient à la parole.
« Vieux tais toi donc ».
8 Mai 2004.
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