L’enfance tient les anges dans une boîte, sous une carapace de plumes.
La ruine traversée sans rame ni sac, effraye l’oiseau qui chante, sous les grands arbres, et file dans le concert de ceux qui soupirent et s’envolent. Le bal du printemps est ouvert, son carnet plein de souches enflamme les amoureux.
Le mois de Mai est un redoutable souffleur de nuits blanches : faire croire que le combat est nécessaire et que la vie vaut d’être. Un élan pousse les enfants, attise leur premier désir, les anciens luttent sous les arbres.
Les chiens gémissent pour entrer, la vérité entre les griffes. Entre l’air pur et l’eau claire, le vol des rapaces, sur place embrasse la terre et les hommes.
27 Février 2004.
La ruine traversée sans rame ni sac, effraye l’oiseau qui chante, sous les grands arbres, et file dans le concert de ceux qui soupirent et s’envolent. Le bal du printemps est ouvert, son carnet plein de souches enflamme les amoureux.
Le mois de Mai est un redoutable souffleur de nuits blanches : faire croire que le combat est nécessaire et que la vie vaut d’être. Un élan pousse les enfants, attise leur premier désir, les anciens luttent sous les arbres.
Les chiens gémissent pour entrer, la vérité entre les griffes. Entre l’air pur et l’eau claire, le vol des rapaces, sur place embrasse la terre et les hommes.
27 Février 2004.
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