La vie éclabousse un vrai matin de fleurs mouillées, matin de plumes qui se frottent et de grenouilles enlacées. Le combat se mène du bout d’un doigt de la main qui retaille le vieux rosier, dévoré de chenilles et bourdons noirs.
Les beaux enfants qui se transforment, soufflent sur la réalité. L’ordre et le temps font route ensemble, le bien qui les tient use seul l’effroi, leur victoire est signée par l’ardeur du soleil sur l’horizon.
Une tige penche sur le miroir, de tuiles et de cailloux assemblés dans l’espoir du niveau droit, lourde elle consent a ne pas respecter le temps qui use et dévoie.
Les enfants se retiennent, ils ne poussent pas aussi vite que le ciel blanc de nuages qui passent, les petits plants enfreignent alors la loi du fort.
10 Avril 2004.
Les beaux enfants qui se transforment, soufflent sur la réalité. L’ordre et le temps font route ensemble, le bien qui les tient use seul l’effroi, leur victoire est signée par l’ardeur du soleil sur l’horizon.
Une tige penche sur le miroir, de tuiles et de cailloux assemblés dans l’espoir du niveau droit, lourde elle consent a ne pas respecter le temps qui use et dévoie.
Les enfants se retiennent, ils ne poussent pas aussi vite que le ciel blanc de nuages qui passent, les petits plants enfreignent alors la loi du fort.
10 Avril 2004.
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