Je te couronne et je te chante, libre qui vient d’en haut pour réduire l’ennui et le remords. Il faut oublier le pas de l’alouette qui glisse sous son pied le reste de la vie. La violence abonde, le sens de la silhouette affole le regard, la fracture du matin s’ouvre: un coin de belle humeur, des pampres s’agitent, des graines volent dans un souffle de joie.
8 Mai 2004.
8 Mai 2004.
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