Tout
dans l’eau, et simple.
Alors comme l’on dit, et
bien nous y sommes, voilà et en plus, et encore, et dans l’escalier, tout au
tout, tout dans la pente, tout encore à la fraîcheur, tout, encore en
sensations, et va, et viens, et vole, cordes enroulez-vous, sonnez et résonnez,
tout ira au partage, sans boire rien,
bouclez le tout et cernez,
sans rien au pied, et pour une entrée dans le désordre, le pied dévêtu, le cœur
oublié, sans avoine et sans lait, sans écume et sans rêves, sur le chemin
toujours à vif, alerte, toujours, arrachant pour un sacrifice, des herbes, des
cailloux, des difficultés,
du vertige, à reculons, à
reculons, sur le sentier, les jours et les année, savez-vous, d’où proviennent
et comme s’en vont, à reculons, ceux qui s’en vont à reculons et tout en eau,
et tout en signes, de l’irritation et du tremblement sur les cailloux, au fond,
dans l’eau les âmes coulent,
les traits tendus, tout loin
et ira tout au fond, en résistance, en
trompe-l’œil, tout au fond, tout en coin, pour revoir l’aube légère, un coup au
cœur, tout est oublié, tout est rendu, tout est plié, les meubles, les coussins, les toiles et les
draps, sur la table, les paniers pleins,
les pierres posées, les
flancs tendus, sur les bancs, les yeux ouverts, tout avance, tout est consommé,
pieds légers dans l’escalier, une réponse en amertume, le goût parfait, la
fleur des âges, tout au-devant, tout au présent, tu entres, tu cherches, et
encore d’autres trouvent,
tout est à voir, tout est en
avance, une image, et au ciel un son, encore, tout on compte : les rayons
de la saison qui brûle, la tension, franchement, on y voit, on y vient, les
rayures au ciel demeurent et tout en point, et tous en traces, oiseaux vous
volez loin, cœur muets,
vous partez, vous êtes le
chemin, vous êtes la serrure, trouvez la clef, et trouvons l’espérance, touchons au vif et franchement dans le
ciel bleu, dans l’air venu, plongeons les yeux et demeurons, tout en haut, tous
tendus, alors, résonnons, cernons, âmes résistantes, sur le fond,
tout avance, sans écume, sur
les cailloux, sur la table, trouvons le point, le pied dévêtu, la corde, roulez,
bouclez, cernez, sans boire, en haut la chaleur souffle, alors comme l’on dit,
et bien nous y sommes, voilà et en plus, et encore, les yeux ouverts, tout
avance, tout est consommé,
et pour dire à l’aube
légère, au ciel, dans le désordre, il y a dans ce temps, il y a dans ce temps,
une évidente simplicité.
24 Juillet 2015.
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