poésie à franquevaux. II
samedi 9 septembre 2017
Sans titre, 10 juillet 2003.
Il se bat à l’arme blanche, la glace perce. Il m’écrase. Sa force désarme et sa douleur me tue. Il craint les guêpes qui me piquent. Ma délivrance n’est pas son abandon. Tourné vers le soleil, il crie et chante fort.
10 Juillet 2003.
1 commentaire:
mémoire du silence
9 septembre 2017 à 10:59
Arme de glace
sa douleur est piqûre
abandon du soleil
sa force est délivrance
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Arme de glace
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abandon du soleil
sa force est délivrance