Souffler, ton nom entre deux pierres, un rayon frais, un heureux temps, un chant de bleu et mêlé d’or.
Dire le sucre et le mois d’Août. Le ciel s’effondre sur ta tête, le vent roule de gros cailloux, il faut le ciel et le ciel pleut. La meute vient sur le chemin. Encore un peu de charme aux rosiers et aux liserons, tes yeux se ferment, l’oubli roule, et le regard s’évanouit.
Deux traits noirs sur l’horizon, le bois vieillit, il faut te rendre, l’automne approche en ce moment.
Dire le sucre et le mois d’Août. Le ciel s’effondre sur ta tête, le vent roule de gros cailloux, il faut le ciel et le ciel pleut. La meute vient sur le chemin. Encore un peu de charme aux rosiers et aux liserons, tes yeux se ferment, l’oubli roule, et le regard s’évanouit.
Deux traits noirs sur l’horizon, le bois vieillit, il faut te rendre, l’automne approche en ce moment.
28 Juillet 2003.
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