Retourner la trace, rire sans raison, essuyer les pierres et tourner le repos sur un fil d’herbe et d’or entrelacé. Il faut compter les nuages. Il y a dans le ciel un avenir en marche, une saison viendra et arrêtera les orages et domptera le temps et fera des sermons et oubliera l’ennui et révélera des chansons dans le cœur de jeunes pères.
Ils portent leurs enfants dans des paniers de joie et couronnent leurs têtes d’un sourire, une flèche de feu pour consoler les âmes et offrir une certitude de gloire. Les enfants dans les mains posés, sur ces cœurs neufs qui palpitent et tremblent et déchirent le temps. Les mains sur les genoux, ils se sentent descendre et frôlent le menton d’un collier de corail.
Ils sont percés à jour et voient une éclosion de rires, un bouquet de marmottes tièdes qui jouent dans le temps et reçoivent le jour. Il y a une odeur de vie et un élan lancé et un cri vers en haut. Il faut reconnaître et sentir un bras qui récolte les roses.
11 Août 2006.
Ils portent leurs enfants dans des paniers de joie et couronnent leurs têtes d’un sourire, une flèche de feu pour consoler les âmes et offrir une certitude de gloire. Les enfants dans les mains posés, sur ces cœurs neufs qui palpitent et tremblent et déchirent le temps. Les mains sur les genoux, ils se sentent descendre et frôlent le menton d’un collier de corail.
Ils sont percés à jour et voient une éclosion de rires, un bouquet de marmottes tièdes qui jouent dans le temps et reçoivent le jour. Il y a une odeur de vie et un élan lancé et un cri vers en haut. Il faut reconnaître et sentir un bras qui récolte les roses.
11 Août 2006.
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