vendredi 11 mars 2016

Sicut cervus. II. 1/3



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Au bord, à la dérive, et tous, le cœur ému et à plein tu respires, et toutes, les erreurs, toutes, calculées à l’avance, je viens, j’entends et je relance, la confusion est sur toute chose, oh, le grand escalier, oh, les ardoises fines, tu reviens et tu te berces, d’un orient vainqueur, on est là et on soutient, souvenons-nous du jour passé, des tuiles au toit, et de toutes, les choses si petites, du rêve et des lueurs et tout, étrangement scintille, et tout, tombe dans la pente, les amis éloignés, les buissons ardents d’un pays à un autre, les feuilles et les branches, et tout, encore bat dans l’escalier, la pente est forte, une image il ne reste, et tu tournes sous les feuillages,  

28 Juillet 2015.

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