Le
dernier arrivé compte sur le devant les étoiles dans les yeux des
chevaux campés sur le côté. Les maisons se ferment, les animaux blancs
se courbent au passage, des curieux voient et interrogent la fin. Cet
hiver commence à passer.
Revoir enfin les amandiers
fleuris et chanter dans la brise la chaleur qui repose et donne dans le
dos, sur l’habit noir, une sensation de grande liberté, les oiseaux
vont le dire. Les chevaux se tordent le cou entre les fils qui les
enclosent.
7 Février 2005.
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