Dans les branches sous le poids du vent, il y a des rumeurs d’oiseaux.
Ce qui se voit est profusion, on le découvre, chétif et sans nerf. Il
faut couper et tailler les feuilles dans leur chair. La main fragile se
détache du tronc. Le jardin sèche, le pied et l’oreille vacillent. Le
tuteur casse et mord la chair. Le figuier est vengé.
15 Juillet 2004.
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