Ils sont entrés au jardin où se tord un ver coupé par une bêche, le temps fleuri invente la joie. Les remords, les regrets, arrachent au rêveur des soupirs qui griffent le dos et le cou et en un instant mouillent les toiles tendues au ciel, à l’espérance.
3 Août 2004.
3 Août 2004.
Ils sont entrés et ressortis, le jardin leur a souri, le ver de terre a fui la vie.
RépondreSupprimerLeurs paupières gonflées de rêves lancent au ciel une pluie d’étoiles.
Ils sont partis suivre l’étoile qui les appelle.